Background de la guilde
Page 1 sur 1
Background de la guilde
Tout était calme en cette froide soirée de décembre, la neige tombait dru sur les remparts du château de Tristan III. De temps à autres de violentes rafales de vent soulevaient des paquets de neige qui tombaient avec fracas plus bas dans la cour, ainsi que les étendards des différentes guildes servant le Roy. Dans un coin du chemin de ronde un garde essayait tant bien que mal de réchauffer ses mains, bon sang qu’il faisait froid mais son tour de garde allait bientôt finir et il pourrait aller chercher chaleur et pitance aux cuisine. Avec un peu de chance il pourrait même tâter la croupe d’une des servantes.
Un paquet de neige plus gros que les autres chut dans la douve, brisant la glace qui commençait à s’épaissir et provoquant un raffut de tous les diables. Cela sorti le garde de son rêve qui alla jeter un œil par l’intermédiaire du mâchicoulis, le trou était de taille importante et le bloc de neige sombrait doucement. En se relevant il aperçut une lueur qui flottait sur la route qui menait à la porte sud, elle devait bien encore être à une demi lieue de la. Certainement des brigands ou voyageurs égarés qui pensant être perdus s’arrêtaient dans le petit bois espérant trouver un abri de fortune. Il reprit son tour de garde entre la tour d’angle, la barbacane et la tour de flanc.
Alors qu’il avait fait deux rondes il s’arrêta au même endroit, ce qui était une lueur ressemblait maintenant à un large feu comme celui qui était tenu dans le centre de la cour. Cependant la distance n’était plus qu’à un quart de lieue, il courut alors vers la barbacane et réveilla son chef ainsi que plusieurs de ses camarades. D’abord ronchons, ils commencèrent vite à se demander quel pouvait bien être l’origine de ce feu qui se rapprochait. Aucune armée ne s’était jamais levée contre le Roy, même la plus puissante des guildes n’avait jamais tentée de prendre le pouvoir. Alors qu’ils essayaient d’en déterminer l’origine, l’objet de leur discussion s’évapora en un instant. C’est alors que des idées plus saugrenues les une que les autres leur vinrent en tête, farfadets, lucioles, nains mineurs de fond....
Le sujet de leur préoccupation ayant disparu ils reprirent le chemin de leur couche, beuglant que le diable et ses démons parcouraient la forêt. Le portier nullement effrayé par les idées des gardes qui le surplombaient s’approcha de la herse qui était abaissée pendant la nuit. Une première silhouette assez petite s’extirpa de l’ombre et prit pied sur le pont-levis, bientôt suivie par une seconde plus imposante encadrée de deux autres plus sveltes. Alors que la petite troupe se rapprochait de lui il commença à distinguer les traits de la personne qui était en avant du groupe.
Il y regarda à deux fois, car il pensa qu’il avait mal vu. C’était une fillette de 14-15 ans aux couettes grises, retenues par deux rubans de soie rouge qui renvoyaient la moindre particule de lumière ambiante. Son visage était si pale qu’il aurait pu paraître aussi blanc que la neige environnante. Cette vision effraya quelque peu le portier qui se concentra sur les trois formes qui la suivaient, elles étaient enveloppées dans de larges capes à capuches qui ne laissaient rien paraître de leur traits ne serait ce qu’un seul cheveu. Soudain la jeune fille interpella le garde
La jeune inconnue : « Bonsoir mon bon monsieur, auriez vous l’obligeance de faire lever la herse, nous avons fait un long voyage depuis les terres lointaines d’Hirmantie pour faire allégeance au Roy Tristan »
Le portier : « Vous devez être bien fourbu mademoiselle, mais qui sont vos compagnons ? »
La jeune Guildmaster : « Ce sont les membres de ma guilde, ils me servent sans jamais poser une question. Leur dévouement est total, et leur intégrité ne serait être mise en doute.
Le portier : « Puis je connaître le nom de votre guilde afin que j’aille en référer au sénéchal, pour que je puisse vous permettre d’entrer car je ne pense pas connaître votre confrérie » En utilisant ce mot le portier dévoilait ses pensées, il se demandait en effet si ce n’était pas une bande de fanatiques ou une quelconque organisation religieuse.
La jeune Guildmaster : « Nous sommes connus sous le nom de Paradis Blanc, et mon nom est Primura »
Le portier : « Je vous prie d’attendre ici le temps que j’aille quérir le sénéchal et que je sache si je peux vous laisser entrer ». Alors qu’il venait de se retourner pour se diriger vers le logis du sénéchal, il distingua le bruit étouffé de 4 fioles qui se brisaient ainsi que le bruissement que fit la cape de l’un des trois suivants de la jeune fille. Il se retourna brusquement la main sur la garde de son épée mais rien ne semblait avoir changé, il lui sembla même que la neige commençait à s’accumuler sur ces formes immobiles. Il reprit son chemin, espérant ce débarrasser rapidement de ces curieuses personnes.
Quelques temps plus tard il revint accompagné d’un homme rougeot et bedonnant. Il ordonna aux gardes d’actionner le tambour permettant de soulever la herse et lui laisser ainsi le passage. Il s’approcha de la jeune fille, lui posa une main sur l’épaule tandis qu’il plongeait son regard dans ces yeux pourpres et innocents qui le regardaient. Alors qu’il se demandait comment une si jeune personne pouvait être guildmaster, il nota dans le fond de l’œil une étincelle qui ne pouvait être vue au premier abord. Cette étincelle semblait montrer la pureté et l’innocence, le sénéchal remarqua alors que l’épaule de Primura était chaude alors qu’elle ne portait qu’une chemise simple et grossière.
Effectivement elle devait avoir bien des secrets et des gens compétents à son service pour qu’elle ne soit même pas affectée par le froid qui rongeait la région depuis plusieurs jours. Il les invita alors à se rendre dans le quartier des guildes au service du Roy, et demanda alors le traditionnel blason qui allait rejoindre ceux des autres guildes ainsi que la marque des guildmaster. Primura fit passer sous son bras un étui qui se trouvait dans son dos, et en ressorti une tenture d’un blanc étincelant ou se trouvait un flocon de neige largement ouvragé. Puis laissant l’étui choir au sol commença à enlever sa chemise, le sénéchal eut un mouvement pour détourner son regard ne comprenant pas le but de la manœuvre.
Ne pouvant résister à l’envie de voir si elle était bien faite en deçà de cette chemise qui masquait sa féminité, il risqua un oeil. Avant même de s’attarder sur la gorge déjà bien développée de la jeune fille il remarqua la marque qui allait de son cou jusqu'à son coude droit. Il s’agissait bien d’une marque guildmaster, néanmoins celle-ci se présentait en général sur un objet tel un velin ou une arme richement ouvragée. Le support de la marque était ici le corps de Primura, tellement émerveillé il contempla la finesse du dessin et se perdit en conjonctures. Il fut interrompu lorsqu’une cape couvrit la jeune femme, la plus grande ombre du groupe s’était approché sans bruit dans le but de recouvrir sa maîtresse.
Le sénéchal recula d’un pas, quelque peu effrayé ne n’avoir entendu ni même perçu le déplacement de ce personnage imposant. Primura remercia d’un geste de la main son guildien qui reprit sa place entre les deux autres était toujours aussi immobiles. Ces trois escogriffes faisaient une sacrée taille, et même si deux semblaient bâtis normalement celui qui s’était avancé semblait être un roc. Primura pris alors la parole :
Primura : « Il est vrai que j’ai oublié de vous présenter mes compagnons de voyages »
Le sénéchal : « Oui il est vrai que je n’ai osé vous demander car leurs capes et capuches masquent leurs traits »
Primura :
« Alors sur votre droite vous avez Sarya The Bloody Huntresse, surnommée aussi Sarya la sanguine » alors que Primura parlait le vêtement de voyage s’était effacé laissant place à une femme élancée à la chevelure blonde rayonnante. Elle était vétue d’une chemise échancrée et d’un short si court que la réflexion suivante venait à quiconque la croisait :
« Mais comment cela se fait ce, que nous ne voyons pas sa culotte ! »
Regarder son corps n’était nullement déplaisant, si ses oreilles avaient été en pointe on aurait pu la prendre pour une elfe. Elle tenait à la main un arc aussi grand qu’elle, orné de motifs inconnus et vraisemblablement indéchiffrables. Si l’on ajoute à cela qu’elle tenait dans l’autre main une flèche prête à être expédiée dans la première cible venue.
« Sur votre gauche vous avez Zia Toshiro ma magicienne et nécromancienne à ses heures perdues. Votre souci de neige découle de son envie de blizzard, pensant que cela ferait aller le bateau plus vite elle a déchaîné les éléments avec passion... Et pour nous éclairer elle invoque le feu mais au lieu de faire une torche elle préfère créer un brasier. Certes elle fait des impairs mais elle s’en sort souvent pas trop mal », de nouveau la cape s’était effacée laissant place à une autre cape de tulle qui laissait entrevoir une guêpière assorti a un short court en dentelle noire et soie pourpre. Sa chevelure blanche et longue semblait provenir d’une sagesse contre nature vis-à-vis de la personne, et le bâton noueux qu’elle tenait fermement dans ses mains semblait maléfique a tout point de vue.
« Au centre vous avez Iliamn notre alchimiste qui nous prodigue ses bons soins et autres potions, tel cette substance a peine visible qui nous protège contre le froid si cinglant issu des foudres de Zia » La plus grande des capes rejoignit le sol et le sénéchal découvrit une armoire normande sur pattes qui affichait un sourire charmeur. Malgré sa charpente bien bâti il restait néanmoins bel homme, et il devait avoir souvent bonne compagnie de jolies jeunes femmes.
« Voici donc mes plus fidèles guildiens, nous avons fait un long voyage et aimerions profiter de votre hospitalité pour nous reposer ».
Le sénéchal revenu de ses surprises, accrocha le blason au milieu des autres et conduisit ses hôtes au foyer. Il essaya bien de se rincer l’œil mais les trois membres de la guildes avait déjà revêtu leur longue cape mais cette fois ci ils laissaient leur visage à découvert.
Un paquet de neige plus gros que les autres chut dans la douve, brisant la glace qui commençait à s’épaissir et provoquant un raffut de tous les diables. Cela sorti le garde de son rêve qui alla jeter un œil par l’intermédiaire du mâchicoulis, le trou était de taille importante et le bloc de neige sombrait doucement. En se relevant il aperçut une lueur qui flottait sur la route qui menait à la porte sud, elle devait bien encore être à une demi lieue de la. Certainement des brigands ou voyageurs égarés qui pensant être perdus s’arrêtaient dans le petit bois espérant trouver un abri de fortune. Il reprit son tour de garde entre la tour d’angle, la barbacane et la tour de flanc.
Alors qu’il avait fait deux rondes il s’arrêta au même endroit, ce qui était une lueur ressemblait maintenant à un large feu comme celui qui était tenu dans le centre de la cour. Cependant la distance n’était plus qu’à un quart de lieue, il courut alors vers la barbacane et réveilla son chef ainsi que plusieurs de ses camarades. D’abord ronchons, ils commencèrent vite à se demander quel pouvait bien être l’origine de ce feu qui se rapprochait. Aucune armée ne s’était jamais levée contre le Roy, même la plus puissante des guildes n’avait jamais tentée de prendre le pouvoir. Alors qu’ils essayaient d’en déterminer l’origine, l’objet de leur discussion s’évapora en un instant. C’est alors que des idées plus saugrenues les une que les autres leur vinrent en tête, farfadets, lucioles, nains mineurs de fond....
Le sujet de leur préoccupation ayant disparu ils reprirent le chemin de leur couche, beuglant que le diable et ses démons parcouraient la forêt. Le portier nullement effrayé par les idées des gardes qui le surplombaient s’approcha de la herse qui était abaissée pendant la nuit. Une première silhouette assez petite s’extirpa de l’ombre et prit pied sur le pont-levis, bientôt suivie par une seconde plus imposante encadrée de deux autres plus sveltes. Alors que la petite troupe se rapprochait de lui il commença à distinguer les traits de la personne qui était en avant du groupe.
Il y regarda à deux fois, car il pensa qu’il avait mal vu. C’était une fillette de 14-15 ans aux couettes grises, retenues par deux rubans de soie rouge qui renvoyaient la moindre particule de lumière ambiante. Son visage était si pale qu’il aurait pu paraître aussi blanc que la neige environnante. Cette vision effraya quelque peu le portier qui se concentra sur les trois formes qui la suivaient, elles étaient enveloppées dans de larges capes à capuches qui ne laissaient rien paraître de leur traits ne serait ce qu’un seul cheveu. Soudain la jeune fille interpella le garde
La jeune inconnue : « Bonsoir mon bon monsieur, auriez vous l’obligeance de faire lever la herse, nous avons fait un long voyage depuis les terres lointaines d’Hirmantie pour faire allégeance au Roy Tristan »
Le portier : « Vous devez être bien fourbu mademoiselle, mais qui sont vos compagnons ? »
La jeune Guildmaster : « Ce sont les membres de ma guilde, ils me servent sans jamais poser une question. Leur dévouement est total, et leur intégrité ne serait être mise en doute.
Le portier : « Puis je connaître le nom de votre guilde afin que j’aille en référer au sénéchal, pour que je puisse vous permettre d’entrer car je ne pense pas connaître votre confrérie » En utilisant ce mot le portier dévoilait ses pensées, il se demandait en effet si ce n’était pas une bande de fanatiques ou une quelconque organisation religieuse.
La jeune Guildmaster : « Nous sommes connus sous le nom de Paradis Blanc, et mon nom est Primura »
Le portier : « Je vous prie d’attendre ici le temps que j’aille quérir le sénéchal et que je sache si je peux vous laisser entrer ». Alors qu’il venait de se retourner pour se diriger vers le logis du sénéchal, il distingua le bruit étouffé de 4 fioles qui se brisaient ainsi que le bruissement que fit la cape de l’un des trois suivants de la jeune fille. Il se retourna brusquement la main sur la garde de son épée mais rien ne semblait avoir changé, il lui sembla même que la neige commençait à s’accumuler sur ces formes immobiles. Il reprit son chemin, espérant ce débarrasser rapidement de ces curieuses personnes.
Quelques temps plus tard il revint accompagné d’un homme rougeot et bedonnant. Il ordonna aux gardes d’actionner le tambour permettant de soulever la herse et lui laisser ainsi le passage. Il s’approcha de la jeune fille, lui posa une main sur l’épaule tandis qu’il plongeait son regard dans ces yeux pourpres et innocents qui le regardaient. Alors qu’il se demandait comment une si jeune personne pouvait être guildmaster, il nota dans le fond de l’œil une étincelle qui ne pouvait être vue au premier abord. Cette étincelle semblait montrer la pureté et l’innocence, le sénéchal remarqua alors que l’épaule de Primura était chaude alors qu’elle ne portait qu’une chemise simple et grossière.
Effectivement elle devait avoir bien des secrets et des gens compétents à son service pour qu’elle ne soit même pas affectée par le froid qui rongeait la région depuis plusieurs jours. Il les invita alors à se rendre dans le quartier des guildes au service du Roy, et demanda alors le traditionnel blason qui allait rejoindre ceux des autres guildes ainsi que la marque des guildmaster. Primura fit passer sous son bras un étui qui se trouvait dans son dos, et en ressorti une tenture d’un blanc étincelant ou se trouvait un flocon de neige largement ouvragé. Puis laissant l’étui choir au sol commença à enlever sa chemise, le sénéchal eut un mouvement pour détourner son regard ne comprenant pas le but de la manœuvre.
Ne pouvant résister à l’envie de voir si elle était bien faite en deçà de cette chemise qui masquait sa féminité, il risqua un oeil. Avant même de s’attarder sur la gorge déjà bien développée de la jeune fille il remarqua la marque qui allait de son cou jusqu'à son coude droit. Il s’agissait bien d’une marque guildmaster, néanmoins celle-ci se présentait en général sur un objet tel un velin ou une arme richement ouvragée. Le support de la marque était ici le corps de Primura, tellement émerveillé il contempla la finesse du dessin et se perdit en conjonctures. Il fut interrompu lorsqu’une cape couvrit la jeune femme, la plus grande ombre du groupe s’était approché sans bruit dans le but de recouvrir sa maîtresse.
Le sénéchal recula d’un pas, quelque peu effrayé ne n’avoir entendu ni même perçu le déplacement de ce personnage imposant. Primura remercia d’un geste de la main son guildien qui reprit sa place entre les deux autres était toujours aussi immobiles. Ces trois escogriffes faisaient une sacrée taille, et même si deux semblaient bâtis normalement celui qui s’était avancé semblait être un roc. Primura pris alors la parole :
Primura : « Il est vrai que j’ai oublié de vous présenter mes compagnons de voyages »
Le sénéchal : « Oui il est vrai que je n’ai osé vous demander car leurs capes et capuches masquent leurs traits »
Primura :
« Alors sur votre droite vous avez Sarya The Bloody Huntresse, surnommée aussi Sarya la sanguine » alors que Primura parlait le vêtement de voyage s’était effacé laissant place à une femme élancée à la chevelure blonde rayonnante. Elle était vétue d’une chemise échancrée et d’un short si court que la réflexion suivante venait à quiconque la croisait :
« Mais comment cela se fait ce, que nous ne voyons pas sa culotte ! »
Regarder son corps n’était nullement déplaisant, si ses oreilles avaient été en pointe on aurait pu la prendre pour une elfe. Elle tenait à la main un arc aussi grand qu’elle, orné de motifs inconnus et vraisemblablement indéchiffrables. Si l’on ajoute à cela qu’elle tenait dans l’autre main une flèche prête à être expédiée dans la première cible venue.
« Sur votre gauche vous avez Zia Toshiro ma magicienne et nécromancienne à ses heures perdues. Votre souci de neige découle de son envie de blizzard, pensant que cela ferait aller le bateau plus vite elle a déchaîné les éléments avec passion... Et pour nous éclairer elle invoque le feu mais au lieu de faire une torche elle préfère créer un brasier. Certes elle fait des impairs mais elle s’en sort souvent pas trop mal », de nouveau la cape s’était effacée laissant place à une autre cape de tulle qui laissait entrevoir une guêpière assorti a un short court en dentelle noire et soie pourpre. Sa chevelure blanche et longue semblait provenir d’une sagesse contre nature vis-à-vis de la personne, et le bâton noueux qu’elle tenait fermement dans ses mains semblait maléfique a tout point de vue.
« Au centre vous avez Iliamn notre alchimiste qui nous prodigue ses bons soins et autres potions, tel cette substance a peine visible qui nous protège contre le froid si cinglant issu des foudres de Zia » La plus grande des capes rejoignit le sol et le sénéchal découvrit une armoire normande sur pattes qui affichait un sourire charmeur. Malgré sa charpente bien bâti il restait néanmoins bel homme, et il devait avoir souvent bonne compagnie de jolies jeunes femmes.
« Voici donc mes plus fidèles guildiens, nous avons fait un long voyage et aimerions profiter de votre hospitalité pour nous reposer ».
Le sénéchal revenu de ses surprises, accrocha le blason au milieu des autres et conduisit ses hôtes au foyer. Il essaya bien de se rincer l’œil mais les trois membres de la guildes avait déjà revêtu leur longue cape mais cette fois ci ils laissaient leur visage à découvert.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum